Confins du monde

Compagnie Artère Brûle

Vendredi 13 mars, 12h
Samedi 14 mars, 14h

 

Spectacle gratuit, réservation obligatoire :

« Je me flattai d’inventer un verbe poétique accessible, un jour ou l’autre, à tous les sens »

Recueil de poésie en prose foisonnant et énigmatique, Une saison en enfer nous parle d’exil, de chute, de l’orgueil de l’homme à la fois créateur et destructeur.

En empruntant la langue fascinante inventée par Rimbaud, nous racontons l’histoire d’une humanité qui aurait fait de la terre un enfer. Un monde où l’eau est contaminée et la charité ensorcelée. Sur scène, trois personnages, trois figures du damné : l’Empoisonné, la Vierge folle et l’Alchimiste. Réfugiés sur une île de plastique, ils sont invités par une créature mystérieuse à témoigner de leur chute. Que leur reste-t-il ? La mémoire d’une humanité déchue, de ses œuvres, de ses échecs. Et surtout un monde à réinventer à partir de ce qu’il reste. La parole et l’acte poétique sont leur seule chance de salut.

Confins du monde invite les spectateurs dans un dispositif circulaire pour un voyage onirique fait de mots, de musique, de sensations et d’images furtives.

Attention : nudité partielle, effets stroboscopiques 

 

Théâtre / Poésie  

Durée 45min

Rencontre : samedi 14 mars à 15h

 

Auteur : D’après Une saison en enfer d’Arthur Rimbaud

Adaptation et Mise en Scène : Hélène Clech

Avec : Charlène Ségouin, Alexis Tsagris, Etienne Marguerite, Hélène Clech, Corentin Miara (basse) et Romain Vial (batterie)

Assistante à la mise en scène : Charlène Ségouin

Régie : Loena Iskyender

Construction : Félix Goulard

Conception musicale : Corentin Miara, Romain Vial

Avec la complicité de Floréal Comte

Spectacle programmé à la Sorbonne Nouvelle par l’ATEP3 dans le cadre du Festival À Contre Sens

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