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2014-2015

 

Cette année, l’ATEP3 vous propose de découvrir 3 expositions riches en créativité. Venez les découvrir au long de l’année universitaire !

Première :
Thème : Retour sur le festival A Contre Sens 2014
Du 6 au 17 octobre 2014 dans les couloirs du bâtiment D.
 
Deuxième :
À venir…
 
Troisième :
À venir…
 

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2013-2014

 

Pour l’année universitaire 2013-2014, l’ATEP3 vous propose quatre expositions photographiques inspirées du thème du spectacle vivant.

 

Première :

Thème : Répétition
Par : Truong Que Chi (étudiant en M2 d’Etudes cinématographiques – Paris 3)
du 18 au 28 mars 2014 à la cafétéria
 

Toutes les nations ont besoin de mythes, de héros pour écrire leurs histoires. Au Vietnam, les figures glorieuses d’un nouveau panthéon historique sont mises en avant par le Parti Communiste et promues dans toutes les écoles et dans tous les arts via le réalisme socialiste, dérivé du modèle sino-soviétique. Répétition est une série de 5 photos prises dans un théâtre au sujet de héros de la guerre et de la mise-en-scène théâtrale.

Cette série a été réalisée dans le cadre d’un atelier organisé par Jamie Maxtone-Graham et a déjà été exposée à l’Institut Goëthe du Vietnam au mois de juin 2013, dans le cadre de l’exposition collective « Autopsy of Days ».


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Deuxième :

Thème : Résidences des compagnies parrainées
Pendant le festival A Contre Sens !
du 31 mars au 05 avril 2014
 

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Troisième :

Thème : Shooting photo autour du spectacle Disturbia
Par : Gi-Ef Kan
Pendant le festival A Contre Sens !
du 07 au 12 avril 2014
 

Cette exposition résulte de la rencontre entre les danseuses de la Compagnie Satinka et le photographe Gi-Ef Kan.

Née d’un désir passionné de faire de la danse autrement, la Cie. Satinka explore les fusions entre la danse tribale et d’autres formes artistiques, telles que le théâtre ou les arts visuels.

Les clichés de cette exposition ont été réalisés lors de la création du nouveau spectacle Disturbia de la compagnie, sur les troubles infligés à l’humain par différentes formes d’addictions. On y retrouve une certaine légèreté avec les photographies sur fond de commissariat, mais aussi la noirceur de l’âme à travers les clichés pris dans un sanatorium désaffecté, ancien camp d’internement.

Peu passionné de technique, Gi-Ef Kan attache une grande importance à la lumière et à la composition, au service du sujet. Que le lecteur/spectateur ressente une émotion devant la photo, tel est le Graal.

Depuis qu’un appareil photo est arrivé entre ses mains il n’a jamais vraiment pu s’en séparer. Tel un ami fidèle, avec qui l’on passe parfois tout son temps… et si parfois l’on s’en éloigne, ce n’est que pour prendre plus de plaisir aux retrouvailles.

Éclectique, il aime varier les sujets : architecture, nature, photo de rue, et plus récemment urbex, portraits et spectacles.

De ces rencontres avec modèles et artistes est né ce projet avec la Cie. Satinka.

Gi-Ef Kan : www.gief-kan.book.fr

Compagnie Satinka : www.facebook.com/CieSatinka

 

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Quatrième :

Thème : Retour sur le festival A Contre Sens 2014

du 28 avril au 04 mai 2014

 

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2010-2011

 

Exposition du festival A Contre Sens 2011

Du 02 au 06 mai 2011

Peinture – Clémentine Partaix

Photo – Alexis G. Cauvin

A Contre Sens c’est aussi une ouverture sur les Arts Plastiques. Pour la première fois, vous est proposée… Une expo ! Réunis en deux volets cohabitant, deux jeunes plasticiens réinventent leur fac. Focus en traces et regards d’étudiants. Ils réinvestissent le Hall de la « B.U ».

Note d’intention

La Sorbonne Nouvelle est ce qui résulte de deux concepts très concrets : des murs et des gens.
18 307 étudiants, 680 enseignants-chercheurs et 900 chargés de cours, 670 personnels administratifs et de bibliothèques, dont le facteur commun est un
lieu, qui les brasse, les rassemble. Mais un lieu de passage, pas une maison, un foyer, une communauté, simplement des murs, mal équipés, dont l’agencement général freine les envies et tentatives d’impulsions collectives, de rassemblement, …
Mais dans cet espace neutre et froid, les résonances humaines à l’échelle individuelle sont encore plus intenses qu’ailleurs. Espoirs, déceptions, réussites, rencontres, transmissions, recherche, publication, tout ce qui transite entre ces murs crée une masse invisible rarement égalée. Ce qui m’intéresse est précisément les résidus, les pertes de matière créés par cette masse abstraite, les traces matérielles involontaires qui viennent trahir une effervescence humaine, qui sortent l’université de sa volonté de neutralité, qui transforment tout à coup le tunnel en réceptacle, qui l’officialisent en tant que lieu de vie temporaire que l’on se transmet, et non plus simplement comme un espace vide.
Mon but serait de tenter de composer, très modestement, une histoire visuelle de Paris III à l’échelle humaine.
Alexis-Georges Cauvin

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